Qui es-tu ?
Je m’appelle Sophie Galtier et j’ai 26 ans, je travaille chez Impulsa depuis un peu plus de 3 ans !
Après mon BAC j’ai fait un DUT GEA (gestion entreprises). Je me suis spécialisée en gestion comptabilité finance (GCF). J’ai par la suite eu la chance de faire partie des élèves du parcours excellence de la gestion, un parcours qui soutient les élèves à haut potentiel.
J’ai donc intégré l'IAE Gustave Eiffel ou j’ai suivi une licence et un master CCA, master que j’ai obtenu en été 2020 puis j’ai décidé passer le DSCG en candidat libre en Octobre 2021.
Comment es-tu arrivée chez Impulsa ?
J’ai contacté quelques recruteurs qui m’ont mis en lien avec 7 cabinets dont Impulsa.
Pourquoi avoir choisi Impulsa et pas un autre cabinet ?
Je ne voulais pas intégrer un cabinet ni trop petit ni trop gros.
Trop petit car ça signifiait que je n’aurais pas l’occasion de traiter des dossiers très variés.
Trop gros car trop de rigidité, donc pas de possibilité de mettre en place des initiatives.
Je me suis tout de suite senti à ma place chez Impulsa dès le premier entretien ou j’ai pu ressentir l’ambiance conviviale qui règne au sein du cabinet !
On a également la chance de travailler sur des dossiers avec des problématiques intéressantes, j’ai vraiment le sentiment d’accompagner les clients dans leur développement.
J’ai également l'impression d'être acteur de la croissance d’Impulsa et non pas seulement spectateur, il y a cette volonté d’évoluer tous ensemble.
Comment s'est déroulé ton stage d’expertise comptable ?
J’ai terminé mon stage d’expertise-comptable fin décembre 2023. Pendant ces 3 ans, j’ai complété mes 200 h d’audit et réalisé 4 rapports dont la notice (la demande d’agrément du mémoire).
J’avais 2 sujets en tête : la mise en place d’une stratégie RSE chez le client et la mise en place d’une stratégie RSE au sein d’un cabinet d’expertise comptable.
Après avoir beaucoup travaillé sur le sujet au sein d’Impulsa, j’ai retenu le sujet axé interne en laissant une ouverture pour le sujet de la mise en place chez le client.
L’intitulé exact de mon mémoire était : « La mise en place d'une stratégie RSE au sein d’un cabinet d'expertise comptable de 100 salariés ».
Comment a évolué ton rôle au sein d’Impulsa ?
Quand je suis arrivé, j’avais un poste de collaboratrice comptable « classique ».
Assez vite, j’ai commencé à m’ennuyer un peu et à vouloir faire de nouvelles choses, j’en ai donc parlé à mon manager, Xavier, avec qui j’ai pu trouver un compromis.
Par le biais d’une mission de RAF au sein du groupe Amusoire, ce qui m’a permis d’approfondir et de découvrir de nouveaux aspects du travail, de nouvelles missions et de nouveaux challenges.
J’avais étudié la RSE dans le cadre de mes études et je trouvais dommage de ne pas pouvoir en faire au sein d’Impulsa.
J’en ai parlé à la direction qui a jugé que c’était effectivement un sujet important et on a donc fini par lancer une mission RSE.
Au départ, nous étions très orientés externe, mais très vite nos clients nous ont fait comprendre qu’on devrait d’abord commencer par prouver notre démarche, ce qui est très logique.
On s'est donc concentrées sur l’interne, avec un gros travail de Théo, Maxime et moi-même pour créer beaucoup de trames de travail, développer beaucoup de compétences internes et réaliser beaucoup d’actions comme la mise en place d’un baromètre RH.
Impulsa a été le bêta-testeur de la mission RSE, on a fait face à beaucoup de défis comme la réticence aux changements, la difficulté parfois à récupérer des chiffres, la complexité liée à la réalisation d’un bilan carbone. Au final, ce mémoire est un peu un use case pour nos clients de la mise en place d’une stratégie RSE en entreprise.
Pour beaucoup, la RSE est perçue comme un sujet uniquement en lien avec l'écologie /l’environnement et oublie souvent les dimensions social et gouvernance. Pourquoi, selon toi ?
Encore énormément de personnes ont cette vision de la RSE alors qu’en réalité, c’est beaucoup plus vaste.
Pour rappel, la RSE se base sur les piliers ESG : Environnemental, Social et Gouvernance.
Chaque entreprise doit faire en sorte d’audit pour comprendre quels sont ses piliers les plus forts ou au contraire les plus fragiles.
À titre d’exemple, les entreprises de services, qui vendent donc du temps hommes, se concentreront sur le pilier Social.
Les entreprises vendant des produits se concentreront sur les sujets environnementaux.
Les groupes qui gèrent plusieurs entités et plusieurs activités devront en plus de ces deux piliers apporter beaucoup d'importance au pilier de la gouvernance.
Aujourd’hui, quels sont les principaux besoins des clients en termes d'accompagnement ?
On s’attendait à être sollicité principalement pour accompagner à la mise en place de démarches RSE volontaires sans obligations particulières, on était très focalisé sur ce sujet et on avait donc réfléchi à toute une offre d’accompagnement et d’aide au pilotage de ces dites démarches volontaires.
Finalement, nous avons uniquement eu des demandes d’aide à la conformité réglementaire, principalement dans le but de faciliter l’accès au financement.
Les données issues des reportings extra-financières sont désormais très demandées voire requises par les investisseurs et les fonds.
Tout récemment, j’ai été contacté par un client qui cherchait un cabinet capable de faire des CSRD.
En conclusion, à la base, on avait monté une offre RSE ultra volontaire et au final, on s’est rendu compte que ça ne collait pas du tout avec les besoins exprimés et on a complètement transformé l’offre.
Quels sont tes passe-temps et Hobbies ?
La musique :
Je fais du piano depuis mes 9 ans, je joue aussi de la guitare !
Mon morceau préféré à jouer : River flows in you de Yiruma.
Le sport :
Je fais de la plongée sous-marine et j’ai même obtenu mon permis bateau.
Je fais énormément de trail, j’ai fait le python de la fournaise en 2h au lieu de 5 !
Quel souhait as-tu pour l’avenir ?
Obtenir mon DEC et devenir agrégé d’économie gestion pour à terme avoir mon propre cabinet et faire de l’enseignement !